Mon commentaire sur le blogue de Nelson Dumais

Je visite régulièrement le blog de Nelson Dumais sur Technaute. Aujourd'hui il nous tends le micro pour dire ce qu'on pense de notre formation en informatique.

Je reprends ci-bas le texte que j'ai soumis :

J'ai fait mon bacc en informatique de gestion à l'UQAM en 1986. Aujourd'hui je suis au développement des affaires pour une des grosses boites de consultation informatique de Montréal.

Au début de ma carrière le mot d'ordre pour survivre était la multi-disciplinarité. Les technologies et les languages informatique évoluaient rapidement et les certifications n'étaient pas très répandues. Je trouve que ma formation m'avait bien préparé au marché du travail, car on y apprenait les languages en utilisation sur le marché, les techniques de modélisation de données et traitement ainsi que les rudiments de gestion. Dépendemment de nos intérêts on pouvait autant convoiter des postes en programmation qu'en analyse et on avait un bon bagage pour avancer dans notre carrière.

Aujourd'hui 20 ans plus tard, je constate que mes clients sont beaucoup moins ouvert aux généralistes : ils désirent des spécialistes. Par exemple, on recherche des architectes qui maitrîsent l'outils X et le langage Y sur une base de données Z dans un environnement W... en plus d'être familier avec le domaine des assurances, etc. La liste des pre-requis s'allonge de plus en plus.

L'explication vient peut-être du fait que l'offre est plus grande que la demande et que les clients désirent tous LA perle rare qui colle parfaitement à leur organisation.
Concernant les certifications, c'est un peu comme les diplômes: plus il y a de gens certifiés, plus cette certification à tendance à valoir moins cher et à devenir obligatoire. Celles qui ont la côte sont donc les plus cher et elles sont généralement octroyées par des fabriquants de matériel ou de logiciel pour contrôler les prix sur le marché de la consultation entourant leur produits.

Un DEC, un Bacc ou une maîtrise ne donne qu'un aperçu des talents et des capacités d'une personne. En tout début de carrière, c'est la seule information qui nous mets en valeur. Cependant, très rapidement c'est notre feuille de route qui vient confirmer notre talent. Il n'est pas inhabituel que je recrute d'excellents gestionnaires de projet qui n'ont qu'une formation collégiale mais qui ont connu une progression constante dans les défis que leur employeur leur ont confié.

Ma conclusion qui provient d'un humoriste dont je ne me souvient pas le nom: la formation c'est un peu comme une poubelle, plus on étudie longtemps et plus elle est grosse. A la fin de nos études on finit tous avec une poubelle, vide, qu'il nous reste à remplir...

Blogue - Le coin de Nelson - Technaute.LapresseAffaires.com

Les meilleurs endroits où travailler

L'hiver est définitivement chose du passée et vous vous senter l'âme à migrer ailleurs? Avant de sauter tête première à la première offre qu'un chasseur de tête, allez consulter ce site où il est questions des meilleures entreprises.

Il y a très peu de firme québécoises... il n'en tiens qu'à nous pour que ca change!


The Great Place to Work® Institute, Inc. is a research and management consultancy based in the U.S. with International Affiliate offices throughout the world.
At the Great Place to Work® Institute, we have been listening to employees and evaluating employers since 1980, to understand what makes a workplace great. We know that the foundation of every great workplace is trust between employees and management. Our ongoing research, measurement tools, and educational services have made us leaders in helping build high-trust workplaces.


Great Place to Work? Institute

Les meilleurs logiciels issus de la communauté Open Source

Si vous êtes du genre "open source", il peut parfois être difficile de déterminer si les logiciels que vous désirez installer sont de bonne qualité. Pour vous aider, consultez site où sont classés les meilleurs logiciels, selon la communauté d'utilisateurs.



SourceForge.net: 2006 Community Choice Awards

Le bureau du président de Microsoft

Voici un petit texte très intéressant écrit par Bill Gates lui-même qui décrit son environnement de travail.

Vous vous rendrez compte qu'il prêche par l'exemple et utilise très peu de papier et qu'il utilise plusieur type de "compagnions" électronique pour faire son travail.

Je retiens en particulier sa station de travail avec 3 écrans. Un écran pour la liste des messages reçus, un pour la rédaction du courriel en cours et le 3e qui est ouvert sur Internet Explorer. Brillant, on peut tout voir sans jouer de la sourie pour maximiser, minimiser, pour passer d'une fenêtre à l'autre.



How I Work: Bill Gates - Apr. 4, 2006

La frousse autour du monde

Vous souvenez-vous de Bruno Blanchet ? C'est ce drôle de pistolet qui animait des émission de télévison comme "N'ajustez pas votre sécheuse", "La fin du monde est à 7 heures" et qu'on a pu apprécié dans le film "La grande séduction".

Eh bien depuis mai 2004, ce Bruno est en voyage en Asie et livre chaque semaine le récit de ses aventures dans le journal La Presse. Cependant, ca m'a pris du temps pour repérer ses reportage et apprécier le dépaysement hebdomadaire qu'il offrait. J'étais à la recherche des archives de ses aventures mais en vain...

Je les ai finalement trouvés ! Elles sont ici :

Bruno Blanchet